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El recreo 1_2_24 - Contenido educativo
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Hablamos del Club de Humanidades
Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
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Bien, nous continuons ici à Radio Los Castillos
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et aujourd'hui nous avons un programme spécial.
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Que s'est-il passé, Xiao? Que s'est-il passé dans l'étudiant?
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Eh bien, il se trouve que oui, il y avait un programme.
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Eh bien, nous avons, si tu ne me regardes pas avec cette tête,
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j'ai mis mal le calendrier, ce n'est pas grave, ça s'arrêtera.
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Ils sont ici et nous allons leur laisser passer,
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parce qu'aujourd'hui nous allons parler de l'humanité
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et nous avons avec nous quelques étudiants
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et quelques professeurs.
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Je crois qu'il y a plus de professeurs que d'étudiants.
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Eh bien, nous avons Diana de Sciences Sociales de l'Histoire.
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Comment vas-tu, Diana?
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Très bien.
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Nous avons, essaie-le encore une fois.
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Très bien, les gars.
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Maintenant, beaucoup mieux.
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Nous avons Anna de Plastika.
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Bonjour, Anna.
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Bonjour.
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Je ne sais pas si vous le souhaitez ou pas.
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Et cette année, nous avons fait plusieurs sorties.
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Nous avons fait une sortie à l'Escorial.
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Nous avons été à Cordova pendant un jour.
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Et nous reviendrons le jour, qui a été très intéressant.
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Et mes élèves m'ont également fait visiter le Musée du Prado
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avec le Club de l'Humanité.
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Et ils nous ont expliqué plusieurs œuvres.
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Ils me disent qu'il est temps de mettre de la musique.
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Nous allons continuer avec le programme.
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Mais avant, nous allons mettre un peu de musique.
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Nous sommes en retard.
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Donc nous allons mettre quelque chose de notre époque.
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Anna, ça te ressemble ?
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A voir si ça te ressemble, cette chanson.
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Anna, dis quelque chose comme ça.
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A voir si ça te ressemble.
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Mais si c'est ouvert, dis-le.
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Est-ce que c'est ouvert ?
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Oui, oui.
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Bon, on continue.
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On va voir.
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On va écouter quelque chose d'une Alaska.
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Et le thème est « Qui l'importe ? ».
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Donc c'est un souvenir pour tout le collectif LGTBI+.
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Dans lequel je me trouve.
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Où sommes-nous ?
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Sur Radio Los Castillos.
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En pleine actualité.
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Turradio.
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Transmettant en direct.
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De Alcorcón.
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Et Partido Universo.
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Et nous sommes de l'humanité.
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Mon destin, c'est celui que je décide.
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Je décide pour moi.
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A qui l'importe ce que je fais ?
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A qui l'importe ce que je vis ?
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Je ne suis pas ici pour me suivre.
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Je ne changerai jamais.
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A qui l'importe ce que je fais ?
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A qui l'importe ce que je vis ?
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Je ne suis pas ici pour me suivre.
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Je ne changerai jamais.
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A qui l'importe ce que je fais ?
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A qui l'importe ce que je vis ?
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Je ne changerai jamais.
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Je ne changerai jamais.
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Très bien.
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Nous sommes encore sur Radio Los Castillos.
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Avec un homme élégant qui est venu nous voir.
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Diana, qui est cette personne avec le cap ?
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C'est mon ami.
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Mon nouveau ami.
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Qu'est-ce qu'il se passe avec Jorge ?
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C'est ton collègue ?
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C'est mon collègue.
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Mon nouveau collègue.
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D'accord, je suis un peu flashé.
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Nous l'avons invité...
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Comment il s'appelle ?
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Vous ne le savez pas, c'est Luis.
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Oui, c'est lui.
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Tu étais là, mais je ne me souviens plus de ton nom.
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Désolé, c'est de ma faute.
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J'ai déjà flashé.
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Je voulais que tu nous racontes ton expérience.
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Il a dirigé une activité extra-école pour le baccalauréat.
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Nous avons adoré.
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Il a fait une route pour Madrid.
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Je l'ai amené ici pour qu'il parle de son expérience.
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Et aussi de son expérience avec l'histoire de l'art.
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Je sais que avant d'être professeur, il a travaillé comme guide.
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Effectivement.
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En faisant des routes pour Madrid.
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Luis, raconte-nous.
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C'est monter les 8000 de Madrid.
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Effectivement.
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Bonjour à tous et à toutes.
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C'est un plaisir d'être ici à nouveau, Nacho.
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C'est un plaisir de vous revoir.
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Et commenter quelque chose qui est un point de départ
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que je pense que c'est important de tenir en compte.
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À Corconnes, nous sommes très proches de Madrid.
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Et à Madrid, nous avons infiniment de ressources éducatives,
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des endroits pour réaliser des itinéraires, des musées.
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Comme vous le savez, les élèves qui participent au Club des Humanités
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et aussi la possibilité d'expliquer,
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étant donné que nous sommes la capitale du pays,
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l'infiniment d'événements qui ont eu lieu
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par l'épicentre ou comme espace protagonique,
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notre ville.
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C'est pour cela qu'à la fin du mois de décembre,
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nous faisons un itinéraire
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sur la vie de la guerre civile en Madrid
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en rapport avec certains mythes,
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comme notre première stop au Musée du Prado
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et la merveilleuse œuvre de sauvetage
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durant le conflit de l'une des meilleures pinacothèques du monde,
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si pas la meilleure.
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Un parcours avec un deuxième bachelorat.
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Effectivement.
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Merci beaucoup.
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La vérité c'est que, Jolines,
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c'est toujours très important,
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il semble qu'on oublie tout.
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Parfois, j'ai l'impression que la transition
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est une époque merveilleuse,
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mais j'ai l'impression qu'on a oublié beaucoup de choses,
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qu'on a laissé beaucoup de choses dans le tinteur.
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Qu'en penses-tu, Luiz ?
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Parfois, j'ai l'impression que,
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c'est mieux de ne pas parler de ça.
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Tu tires, tu tires !
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Mais on en parlera dans un autre moment.
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C'est comme les fêtes de Noël.
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C'est un peu ça ?
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Est-ce qu'il peut y avoir quelque chose de ça dans la transition ?
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Non, c'est bien de toujours parler.
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En plus, il y a déjà pas mal d'années qui sont passées.
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D'un point de vue historiographique,
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c'est très bien.
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La histoire et les grands événements,
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les grands périodes sont toujours en continuité de révision.
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C'est positif.
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Cela nous fait remarquer
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que c'était une des étapes
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les plus passionnantes de notre histoire,
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qui n'a pas duré jusqu'ici.
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Et qui a des lectures positives
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parce qu'après 40 ans
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de développement des événements,
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on peut faire un balance plus modéré,
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plus juste,
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moins passionné
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d'une période où il y a eu
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des confrontations
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et des dialogues.
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Évidemment,
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l'objectif, dans une époque comme celle que nous vivons,
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c'est d'apporter plus pour le second,
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pour le dialogue, que pour le premier,
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pour le choc.
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Ça n'a pas l'air...
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Non, non, pourquoi pas ?
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Je n'ai pas de problème.
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Mais ça n'a pas l'air d'être une époque pour le dialogue.
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C'est plutôt pour les gens qui veulent se confronter.
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Mais,
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il y a une chose...
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Parfois,
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je regarde YouTube
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et tu sais, Diana,
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j'ai vu un vidéo qui m'a beaucoup attiré
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et c'est
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« Qu'est-ce qu'on ne peut pas parler dans une dîner avec des Espagnols ? »
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Il y avait deux Anglais,
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un Anglais et un Américain,
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et alors,
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il y avait différents sujets pour parler avec les Espagnols,
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et il a dit que ce qu'on ne peut jamais parler
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avec les Espagnols, c'est la guerre civile.
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On ne peut jamais parler avec les Espagnols
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avec la guerre civile,
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parce que c'est toujours un sujet
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très tendu, avec les blessures ouvertes,
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qui n'ont pas été résolues, on ne peut pas parler tranquillement,
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tout d'un coup, quelqu'un s'énerve,
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il y a des reproches,
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donc, quand tu es avec des Espagnols,
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parle de ce que tu veux, sauf de la guerre civile.
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Que penses-tu de ce vidéo ?
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Ça m'a touché.
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Qu'un Américain et une Anglaise parlent
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de leur vie en Espagne,
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et qu'on ne peut pas parler de la guerre civile,
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ça m'a touché.
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Je n'ai pas vu le vidéo,
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mais je pense qu'on doit le surpasser,
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de ne pas pouvoir parler de ces sujets.
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Je pense qu'il est nécessaire de le parler,
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mais de le parler avec respect.
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En fait, je dis toujours la même chose
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à mes élèves,
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quand je dois parler d'un sujet,
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c'est qu'il y a beaucoup de vérités
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et qu'il est nécessaire
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de séparer les vérités et les mentes.
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Est-ce que je peux vous recommander un livre ?
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Non.
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Oui, Louise !
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Bien sûr, mon amie !
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Ne me demandes pas, c'est ton radio.
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En prenant l'occasion de parler de la guerre civile,
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ce n'était pas improvisé,
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mais je voulais vous recommander un livre
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que j'ai aimé beaucoup,
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qui m'a été donné par une compagnie
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de ce centre,
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je peux faire de la propagande,
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et j'ai aimé beaucoup,
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c'est sur une famille en guerre civile,
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et je trouvais que c'était très objectif,
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comme traitaient les deux côtés,
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c'est celui des trois blessures.
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C'est très, très beau,
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et je...
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Il n'y a pas de dessins ?
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Non, il n'y a pas de dessins,
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mais...
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J'aime les dessins, mais les livres avec les lettres.
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Oui, mais bon...
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Qu'en penses-tu, Louise ?
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Je viens de dire ça,
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c'est ce qu'a dit quelqu'un à cette table,
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ne t'emmènes pas à Honduras.
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Il y a un gros couteau sur ce sujet.
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Qu'en penses-tu, Louise ?
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Je pense que,
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en tant qu'historien,
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je dois différencier
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mes jugements subjectifs,
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mes valeurs,
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mon positionnement dans le monde,
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de la discipline de l'histoire,
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qui a une série de procédures
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à respecter,
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comme le contraste des sources,
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les points de vue différents,
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qui sont toujours pluraux...
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Tu me dis que ce que dit Foro Coches,
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je dois le contraster ?
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Evidemment.
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Mais qu'est-ce que tu me dis ?
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Et ce que dit Youtube, je dois le contraster aussi ?
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Si le Rubius me dit que c'était comme ça,
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je ne peux pas le croire.
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Ici, il faut contraster tout, Nacho.
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Mais alors,
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le monde va à la merde.
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Ici, personne ne contraste rien.
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Tu sais cette phrase, Pablo ?
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Tu sais la meilleure phrase de cette époque ?
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C'est celle qui dit
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« Je n'ai pas de preuves,
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mais je n'ai pas de doutes. »
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C'est une très bonne phrase !
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C'est une très bonne phrase,
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mais je vais te la dire.
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C'est une phrase de notre époque.
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Oui, mais je vais te la dire.
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Bien sûr que ce sont des sujets pour parler.
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Tu sais pourquoi ?
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Parce que dans toute la famille,
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il y a des adultes qui ont vécu,
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ou qui ont vécu,
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et qui leur ont apporté des sujets
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qu'ils n'ont pas voulu parler.
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Ce sont des sujets qui sont
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très intéressants pour discuter.
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Ce sont des sujets
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qui nous obligent à nous sympathiser.
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Comme a dit Dion,
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c'est un sujet d'écoute,
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c'est le respect.
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C'est bon,
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car ça donne lieu à la réflexion
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pour les plus âgés.
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Aucun sujet ne sera pas agréable,
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mais ça pourra nous aider à réfléchir.
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On continue de parler,
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car c'est sur la radio,
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même si Carmen ne sait pas
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pourquoi elle utilise le micro.
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Elle crie comme si elle n'avait pas de micro.
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On continue de parler sur internet
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et Carmen ne s'écoute pas.
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Par rapport au sujet de la guerre civile,
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depuis que je suis très petite,
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ils m'ont toujours raconté,
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au moins de mon grand-père,
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comment ils vivaient,
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mes grands-pères,
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en Cordova,
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dans un quartier républicain.
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Quel endroit pour être républicain
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dans la guerre civile ?
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L'un d'entre eux était très proche
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des leaders républicains.
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Ils ont donc dû s'exiler en Belgique.
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Mon grand-père est né là-bas
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et est venu en Espagne quand il avait 17 ans.
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Et surprenantement,
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il a commencé à travailler
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sur la télévision espagnole.
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Surprenantement.
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Pour relâcher un peu,
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on va mettre un peu de musique.
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Il nous reste une minute.
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On peut se dire au revoir avec la musique.
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Merci, Freddy, d'avoir annoncé la minute.
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Les techniciens sont la laitée.
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Applaudissez-vous vous-même, les gars.
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Non, applaudez-le.
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Il y a un bouton qui applaudit seul.
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Regarde, regarde.
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Il y a un bouton.
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Luis, tu veux dire quelque chose ?
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Oui, j'aimerais annoncer,
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même si nos élèves de 3e de secondaire
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le savent déjà,
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que le 26 février,
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il y aura une visite
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au Congrès des députés
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avec le département de biologie.
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C'est une activité qu'on organise ensemble.
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Pourquoi tu ne dis pas
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qu'on cherche Adam Hatchimi ?
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Il n'est pas nécessaire que tu cries.
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Le micro t'amplifie.
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Adam Hatchimi, ils te cherchent.
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Ils te cherchent
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et peut-être que c'est pour quelque chose de bon.
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On doit se dire au revoir.
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La musique a sonné.
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On va mettre un peu de musique pour se dire au revoir.
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Merci d'être ici.
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Merci Diana.
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Merci d'inviter nous, Nacho.
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C'est un plaisir d'être ici.
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C'est ta radio, viens quand tu veux.
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Merci, merci.
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Anna et Pablo.
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Merci à tout le monde.
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Et merci à Gema
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et les autres filles de MAMA.
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Et à Paula qui était ici.
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Merci aussi à Cynthia.
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Raoul et les techniciens.
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Ici Freddy et le seul et unique,
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à bientôt.
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Au revoir.
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Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
00:27:21
- Subido por:
- IES LOS CASTILLOS
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- 1 de febrero de 2024 - 11:50
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- IES LOS CASTILLOS
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- 27′ 25″
- Relación de aspecto:
- 5:4 Es el estándar al cual pertenece la resolución 1280x1024, usado en pantallas de 17". Este estándar también es un rectángulo.
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