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Alimentation, une question de qualité
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Il est difficile de garantir la qualité d'un produit de consommation. Cependant, il faut protéger le consommateur contre les aliments contaminés. En outre, il est nécessaire d'instaurer des mesures de sauvegarde afin de faire face aux situations d'urgence dans le secteur de l'alimentation et de renforcer les contrôles sur les aliments. En ce sens, de nouvelles technologies ont été mises au point pour améliorer la qualité de l'alimentation et pour favoriser des aliments plus équilibrés.
L'Union Européenne est au niveau mondial le premier producteur et exportateur de biens
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agroalimentaires.
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Ces biens représentent environ 17% de sa production industrielle, depuis la filière agricole
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jusqu'aux chaînes de transformation et de distribution.
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Une industrie majeure en Europe pour un marché intérieur immense, très varié, librement
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ouvert.
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Une question peut alors se poser, comment nous, Européens, pouvons être certains de
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la qualité de ce que nous trouvons dans notre assiette ? En effet, la qualité de l'alimentation
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peut avoir des répercussions capitales sur notre santé.
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Pour apporter une réponse, la Commission Européenne, à travers son cinquième programme
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cadre de recherche et de développement des technologies, a créé un programme appelé
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« Qualité de la vie, gestion des ressources vivantes ». Une des six actions clés de
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ce programme concerne l'alimentation, la nutrition et la santé.
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Parmi les nombreux projets soutenus chaque année, en voici quelques exemples qui témoignent
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de l'excellence de la recherche Européenne dans ce domaine.
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L'alimentation et l'alimentation
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L'alimentation et l'alimentation
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Dans la première des actions clés, nous avons l'arrière-plan des matériaux rares
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et de nouvelles technologies alimentaires.
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Ce que nous cherchons vraiment, c'est comment nous pouvons améliorer les matériaux rares,
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comment nous pouvons introduire de nouvelles technologies dans le processus alimentaire,
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technologies utilisées dans d'autres industries, et puis nous avons des technologies typiquement
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de la zone alimentaire, comme la zone de la nourriture, des technologies de la viande,
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des technologies de fruits et légumes, et même des technologies de vin et de beurre.
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L'alimentation et l'alimentation
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Nous sommes au cœur de la France, en Auvergne.
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L'INRA, l'Institut National de la Recherche Agronomique, est l'un des sept partenaires
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qui ont participé à un projet de recherche sur la qualité de la viande.
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Parmi les caractéristiques qualitatives des viandes, que sont la jutosité, l'aspect,
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la couleur, la flaveur, c'est la tendreté qui est considérée comme la qualité la
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plus importante par le consommateur et qui, malheureusement, est la qualité qui présente
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la plus grande variabilité non maîtrisée par la filière.
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Il n'existe pas de garantie de qualité pour le consommateur parce qu'il est difficile,
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technologiquement, de prévoir la qualité de la viande, celle du bœuf en particulier.
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Ce projet a été développé pour donner à l'industrie des outils de mesure de la
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tendreté de la viande et pour augmenter sa compétitivité sur le marché mondial.
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Un des critères de ce type de projet est qu'il est précompétitif.
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C'est-à-dire qu'un groupe de scientifiques travaillant avec l'industrie développe
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le savoir-faire en fonction de la science derrière les technologies.
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A la fin du projet, nous espérons transférer ce savoir-faire, les données et les technologies
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à l'industrie pour qu'elle développe les produits et commercialise les résultats.
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Les chercheurs ont voulu définir des marqueurs physiques et chimiques qui permettent de
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prédire le potentiel de tendreté de la viande aussitôt après l'abattage.
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L'originalité du projet a été l'usage de technologies d'analyse d'images
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totalement innovantes pour le secteur de la viande,
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telles que les ultrasons ou la résonance magnétique nucléaire.
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Celles-ci incluent, par exemple, un hôpital anti-cancer.
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Elles ont des compétences dans le domaine des marqueurs de cancer
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dans les tissus sanguinaires et dans les organes.
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Nous utilisons leur technologie pour faire un travail similaire.
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Au lieu des marqueurs anti-cancer, ils cherchent des marqueurs de qualité de la viande.
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Les études ont été validées au cours de tests sensoriels
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réalisés par des jurys amateurs et professionnels.
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Les recherches ont conduit à la mise au point de tests immunochimiques et infrarouges
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qui, après un travail d'application, pourront être utilisés par les industries
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pour contrôler et prédire de manière fiable la qualité de la viande
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avant la mise sur le marché.
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Une manière pour ces industries de regagner la confiance des consommateurs
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et de redevenir compétitives.
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Si nous réfléchissons aux différents aliments à travers l'Europe
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et que nous comparons, par exemple, l'arrière-mer de l'Europe
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avec l'arrière-nord de l'Europe, il y a une grande différence en termes d'aliments.
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Une partie de notre recherche concerne comment améliorer les aliments
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pour une meilleure alimentation et une meilleure nourriture pour les consommateurs en Europe.
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Nous examinons donc un certain nombre de produits, des fruits, des légumes, par exemple,
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même des bières, et nous examinons les effets de ces produits
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sur l'alimentation et, finalement, sur la meilleure nourriture
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et la meilleure qualité de vie pour les gens en Europe.
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L'alimentation
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Parmi les clients de ce marché matinal à Norwich, en Grande-Bretagne,
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une femme, une scientifique, s'intéresse depuis plusieurs années
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aux nutriments contenus dans les fruits et les légumes
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et à leur rôle dans certaines maladies comme les cancers ou les maladies cardiovasculaires.
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La théorie est que les fruits et les légumes sont riches
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en composants anti-oxydants qui protègent nos cellules et nos tissus
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contre les ravages de vivre dans un monde rempli d'oxygène,
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des dégâts oxydants, des dégâts radicaux libres.
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Nous sommes particulièrement intéressés par un groupe de composants,
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les caroténoïdes, qui sont anti-oxydants
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et sont trouvés dans les fruits et les légumes.
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Par exemple, le lycopène dans les tomates,
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le butycarotène dans les carottes,
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le luteine dans les légumes jaunes comme le brocoli
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et le butycryptoxanthine dans les oranges et les mandarins.
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L'Institut of Food Research à Norwich a coordonné ce projet
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auquel ont participé huit centres de recherche, universités et hôpitaux européens.
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Pour étudier le potentiel bénéfique de ces caroténoïdes,
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les chercheurs ont analysé des échantillons de plasma sanguin
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prélevés sur des volontaires adultes du nord et du sud de l'Europe.
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Ces volontaires avaient reçu soit un régime de fruits et de légumes,
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soit des suppléments de caroténoïdes.
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Les chercheurs ont voulu connaître le rôle de ces nutriments
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sur certaines protéines présentes dans l'organisme,
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les LDL, aussi appelés mauvais cholestérol,
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dont l'oxydation est une des causes de l'artériosclérose.
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Les chercheurs ont aussi étudié l'oxydation de l'ADN,
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support de nos informations génétiques,
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sachant que les dommages causés à l'ADN
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peuvent entraîner l'apparition des cancers.
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Les 16 semaines de supplémentation avec des caroténoïdes
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n'ont pas influencé le nombre d'endroits oxydés dans l'ADN,
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mais nous avons trouvé une significative corrélation
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entre les niveaux de caroténoïdes dans le sérum
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et le dommage à l'ADN dans les cellules blanches,
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dans le sens que plus la concentration du caroténoïde dans le sérum est élevée,
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moins le nombre d'endroits oxydés est élevé dans l'ADN.
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Ces recherches ont montré clairement
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que la santé ne venait pas forcément d'une bouteille ou d'une boîte de pilules
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et que la consommation des fruits et des légumes
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était la meilleure façon de se protéger des maladies
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telles que le cancer ou les maladies cardiovasculaires.
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Par exemple, la maladie d'E. coli, la maladie de Dioxin, la maladie de Mad Cow.
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Dans ce domaine, nous parlons d'un nombre d'issues concernant la sécurité de la nourriture,
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comme les microbes dans la nourriture, par exemple,
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particulièrement les pathogènes nouveaux,
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mais aussi des résidus dans la nourriture,
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particulièrement des résidus de chemicals, des hormones, etc.
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Nous examinons aussi les tests,
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comment développer des tests rapides pour détecter ces choses dans la nourriture.
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Et enfin, nous examinons de nouvelles approches pour l'assessment des risques,
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où nous essayons de mesurer quel est le risque dans la nourriture
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et comment nous pouvons améliorer la législation vers l'assessment des risques.
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Le vérocytote oxygène E. coli.
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Numéro de code 0157 H7.
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C'est le bétail qui est la source principale du E. coli 0157.
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Logés dans l'intestin,
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les E. coli se propagent d'abord dans les matières fécales des animaux,
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puis viennent en contact avec leur peau.
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Lorsque l'animal est en contact avec sa peau,
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il se transforme en E. coli 0157.
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Lorsque l'animal est en contact avec sa peau,
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il se transforme en E. coli 0157.
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Lorsque l'animal est en contact avec sa peau,
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il se transforme en E. coli 0157.
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Lorsque l'animal est en contact avec sa peau,
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il se transforme en E. coli 0157.
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Les germes pathogènes présents sur la peau
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sont transférés dans les carcasses des abattoirs.
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Si les précautions ne sont pas prises,
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le germe se retrouvera un jour dans l'assiette du consommateur.
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Il y a plusieurs choses qui se passent en Europe sur l'E. coli.
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La première, c'est l'action concertée sur l'E. coli 0157,
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Ce qui est très important, car c'est un problème pour nous tous.
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Ce serait ridicule pour l'Irlande de s'inquiéter.
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Les Britanniques, les Français, les Allemands, les Suisses,
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tout le monde doit s'inquiéter.
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Et même si ce n'est pas un problème dans votre pays aujourd'hui,
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il peut être demain avec le marché unique et le mouvement libre.
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Personne ne peut s'inquiéter.
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Pour riposter au danger de contamination par le E. coli,
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les partenaires européens ont cherché des méthodes
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pour l'isoler, le détecter et l'identifier.
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Il s'agissait d'avoir une meilleure compréhension de ce germe pathogène
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et d'établir des moyens de contrôle pour protéger le consommateur.
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Les partenaires ont voulu mettre l'accent sur la prévention.
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Ils ont produit, par exemple, des films pédagogiques pour le public jeune
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et ont publié des documents d'information
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qui sont mis à la disposition des consommateurs,
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des microbiologistes et des professionnels de l'agroalimentaire à travers l'Europe.
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Le message est de mieux en mieux reçu par les industries de la viande en Europe.
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Respect des conditions d'hygiène pendant l'élaboration des produits
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et tests réguliers de détection des bactéries dangereuses
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sont des mesures qui participent à une stratégie globale de protection des consommateurs
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de la ferme à l'assiette, contre les empoisonnements
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et contre les contaminations.
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Le message est de mieux en mieux reçu par les industries de la viande en Europe.
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Respect des conditions d'hygiène pendant l'élaboration des produits
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et tests réguliers de détection des bactéries dangereuses
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sont des mesures qui participent à une stratégie globale de protection des consommateurs
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de la ferme à l'assiette, contre les empoisonnements alimentaires.
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Depuis plusieurs années, on voit apparaître dans le panier de la ménagère
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des produits laitiers pas comme les autres,
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tels que des yaourts enrichis de ces bactéries appelées probiotiques.
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Aliments du futur ? Médicaments ou potions magiques ?
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Avec 8 partenaires, le Centre Technique de Recherche d'Agriculture
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et de Légalisation de la Vérité,
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le Centre Technique de Recherche d'Agriculture et de Légalisation de la Vérité,
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le Centre Technique de Recherche d'Agriculture et de Légalisation de la Vérité,
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a voulu établir la vérité sur ce sujet.
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C'était donc très important d'établir un groupe avec les scientifiques,
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avec l'industrie, ensemble avec l'industrie,
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pour vraiment démontrer ce qu'est l'information derrière tout ça,
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et le faire ensemble.
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Appelées Lactobacillus rhamnosus, Acidus, GG ou Bifidobacterium,
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ces bactéries ingérées vivantes sont capables de survivre dans l'intestin
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pour y exercer des effets bénéfiques.
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Les recherches ont constitué à sélectionner et vérifier les qualités
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préventives et thérapeutiques de ces bactéries.
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Les industries, comme le finlandais Valio,
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ont apporté leur expertise technologique dans la production des bactéries
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et réalisé des tests dans leurs laboratoires.
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Les recherches ont montré qu'il fallait faire la différence
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entre un médicament probiotique et un yaourt simplement enrichi de ces bactéries.
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Mais, validées à travers des essais cliniques,
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elles ont montré clairement que les bactéries
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avaient des effets thérapeutiques sur certaines maladies.
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Avec clairement la perception de la part de tous,
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des industriels mais aussi des autorités,
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de l'intérêt d'une nutrition préventive.
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Ces projets de recherche rassemblent les meilleurs experts européens
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en matière d'alimentation, de nutrition et de santé.
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En promouvant la coopération entre le domaine public et privé,
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la Commission européenne contribue à protéger la santé des consommateurs,
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à élever leur qualité de vie,
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et à rendre l'Europe plus compétitive sur le marché mondial de l'alimentation.
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Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
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- Autor/es:
- L'Union Européenne
- Subido por:
- EducaMadrid
- Licencia:
- Reconocimiento - No comercial - Sin obra derivada
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- Fecha:
- 28 de junio de 2007 - 17:36
- Visibilidad:
- Público
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- Duración:
- 17′ 35″
- Relación de aspecto:
- 4:3 Hasta 2009 fue el estándar utilizado en la televisión PAL; muchas pantallas de ordenador y televisores usan este estándar, erróneamente llamado cuadrado, cuando en la realidad es rectangular o wide.
- Resolución:
- 320x240 píxeles
- Tamaño:
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